«On peut être triste et ressentir une joie profonde» nous dit Anne-Dauphine Julliand. «On n’oublie jamais nos chers disparus, mais on arrive par la prière et l’intériorisation à se rendre compte que, parfois, ils vivent en nous ; on se sent habités par leur présence» nous partage une de nos lectrices. Ce numéro d’octobre explore l’espérance chrétienne, une espérance risquée qui mêle tristesse et joie, douleur et confiance.